Bonjour à tous les fervents amoureux de la plume !
La Grange aux Chimères vous propose un espace d’écriture
en ces temps mortifères
où nous, les Anciens, loin de toujours recevoir le respect ou l’écoute légitimes,
sommes devenus parfois,
(intellos, libres penseurs, nostalgiques),
ces indésirables qui ne partagent pas l’avis général
Aborder le thème de la mort pour vaincre la mort ?
En tous cas, devenir immortels en tant qu’auteurs !
CONSIGNE avec un intitulé décapant :
« Crever… la gueule ouverte » !
ce, pour confier notre Testament (littéraire) à la planète
L’incipit doit obligatoirement comporter la forme protocolaire du testament holographe, puis l’écriture est libre.
Donc, faire débuter votre texte par : « Je soussigné, déclare instituer légataire universel la VIE, à laquelle je donne la totalité de mon BIEN que je laisserai
lors de mon décès physique.
Voici mon legs immatériel à la Vie, d’aujourd’hui et surtout de demain : »
Écriture
Libre.......................................................................................................................................................................................................................................................................................................
P.S. A la recherche éperdue de voix douces et sensibles qui sauront édulcorer l'acidité de l'intitulé...
1-S’agissant d’une co-création puisque chaque écrit sera apporté à un ensemble plus vaste, la consigne commune est censée donner une cohésion formelle
le supprimer.
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A DÉBATTRE, A VOUS LIRE
Quelques éléments de réflexion sur la LANGUE à débattre et pour rebondir si vous le voulez
Emprunt de parties de l’article
La glottophobie ou la langue comme outil de discrimination
Pour démontrer le caractère abusif de ce critère de différenciation négative, il a fallu rassembler un corpus de textes relatifs aux droits humains, qui mentionnent explicitement la langue, au même titre que l’origine ou la couleur de la peau, dans l’interdiction des discriminations.
Ces textes garantissent le droit fondamental d’utiliser librement ses propres moyens linguistiques dans ses relations humaines et sociales. Il a fallu également démontrer que la ou les langues premières sont des éléments essentiels de la personnalité, que leur mépris ou leur interdiction produit un traumatisme et des inégalités déterminantes.
Le terme « glottophobe » a été proposé pour la première fois lors d’un colloque sur les langues régionales à Amiens, en 1996, pour qualifier des discours hostiles à l’usage de ces langues.
Les textes en ont été publiés en 1998. Le terme a été plus largement diffusé dans un article grand public intitulé La « mauvaise langue » des « ghettos linguistiques » : la glottophobie française, une xénophobie qui s’ignore. La notion est précisément décrite dans une publication scientifique dédiée en 2013 et largement diffusée par la sortie, début 2016 chez Textuel, de l’ouvrage scientifique à vocation grand public Discriminations : combattre la glottophobie (réédition 2019).
Peut-on avoir un accent en politique sans être moqué ?
En 2020, une enquête révèle que 50 % de la population en France dit parler français avec « un accent », que la moitié de ces 50 % a subi des stigmatisations et 16 % (soit potentiellement des millions de personnes) des discriminations à l’embauche liées à cet accent. Un projet de loi a même été largement voté à l’Assemblée nationale fin 2020 pour interdire les discriminations au motif d’un « accent » mais n’a pas été confirmé à temps par le Sénat.
Or il ne faut oublier qu’il y beaucoup plus de peuples et de personnes à qui on interdit de parler leur langue, dont on limite les usages, et avec des conséquences plus graves, que de personnes à qui on reproche de parler une langue, souvent dominante, avec une prononciation non standard, ce qui reste néanmoins une des formes de glottophobie, toujours condamnable.
Source : Extrait d’une étude, article Aurélie Djavadi, Journaliste.
Parallèlement, n’est-on pas davantage dérangé par l’intrusion hégémoniste franglaise?
Une conversation précieuse, lors d’une visite récente en nos locaux de Monsieur Jean Tillie, correcteur et de son épouse Jacqueline, professeur d’anglais en Université, retraités ayant consacré leur temps à privilégier les Hauts lieux de la Langue française géographiquement ou symboliquement par leurs réflexions éclairées et leurs travaux en écriture, ( créateurs passionnés de Thébaïdes, concrètes ou abstraites, donc, à prolongement mental, persévérant à ensemencer (création de dictionnaires collaboratifs, d’astuces, de progiciels, de codes intuitifs servant à accompagner les auteurs durant la relecture de leurs écrits par le correcteur, invention de codes typographiques innovants et pratiques, etc.) me permet d’introduire un terme qui m’était inconnu : le globish dont la définition ne laisse pas de doute sur son côté indigent : Anglais au vocabulaire limité et à la syntaxe élémentaire, employé comme langue véhiculaire.
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